La femme aux ciseauxMaître XP : 28 Messages : 35 Ici depuis le : 06/08/2014 Couleur Dialogue : teal
| Eärebriclya
Sujet: [VIOLENT] LA femme aux ciseaux Jeu 7 Aoû - 2:02 | |
| Eärebriclya« Tu es chez moi, donc tu t'inclines. Petit con ! »
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SURNOM : Appelez moi Maître, tout simplement ÂGE : Une trentaine d'année je ne donnerai pas mon âge exact, SEXE : Crétin ! Serais tu aveugle pour ne pas voir que je suis une femme ? ORIENTATION : Là encore je ne dirais pas grand chose. ça te regarde ?
QUALITÉS : C'est quoi ça une biographie de moi ? ça va pas t'aider à manier une épée de savoir que je suis ta plus redoutable adversaire non ? Je pense que ça se voit bien que je suis sûre de moi, mais pas assez stupide pour foncer tête baisser morveux ! Je ne suis pas du genre imprudente, mais je peux me montrer impatiente lorsqu'un moucheron dans ton genre me fait de l'ombre. Je pense être quelqu'un de sensé, qui ne manque pas de répliques cinglantes dans les moments où la répartie est ta meilleures amie. Je ne sais pas si je peux me montrer aimante, mais je sais faire la différence entre quelqu'un qui mérite la mort, et quelqu'un qui cherche simplement d'être sauvé d'un destin bien injuste. DÉFAUTS : Parce que tu veux que je te livre mes points faibles en plus ? T'as pas vu les dieux toi, tu leurs a serré la main carrément. T'as du cran pour un morpion, et je dirais que mon plus gros défaut serait mon langage. Ah ça, je fais pas partie de ces cons de nobles hein ? Toi non plus, ça se voit dès qu'on te regarde. On dirait un mendiant. Sinon, j'ai la fâcheuse habitude de vouloir mesurer la force de quelqu'un au combat, alors prends une épée, et montre moi ce que tu vaut p'tite tête !
GHILDE / CLAN : Doss'Ta. Bah ouais, je suis pas chez les tapettes moi. STATUT SOCIAL : Caste marchande. Celle de mes parents. Y a pas de caste apparemment pour les gens qui défendent les terres. Système de merde. TITRE : "La femme aux ciseaux" Quoi tu comprends pas ? Attends ça va venir ahahah ! PROFESSION : Maître, et t'as intérêt d'être à la hauteur. La peur est un mot grossier dans mon langage, et si l'envie te prend de faire dans ton froc, évite d'en répandre partout. J'étais entraineur jusqu'à maintenant et devine quoi ? Je viens de passer Juge. Mouahahahah !
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POUVOIR : Oooohohoh ! C'est un secret ça, mais comme t'es pas trop une mauviette je vais te le dire. Je ne l'utilise qu'en cas d'urgence hein, mais j'ai le pouvoir de faire apparaitre de l'eau dans le creux de mes mains. Ouais, de l'eau. De l'eau que l'on peut boire. Le genre de truc qui te sauve en pleine mission quand tu crèves de soif, sauf si j'ai envie de t'emmerder et de siroter mon eau en te regardant gentiment agoniser. Oooh je dirais que ça fait partie de ton entrainement. Après si je m'étais incrustés chez les chochottes de Psyjiic, j'aurais pu faire des trucs de fou. Mais ce n'est pas le cas. Et pourtant, je pense que mon don est le plus recherché de tous. Tu l'as dans le cul hein ? Quoi ? T'as soif ? Pas de bol, je n'ai pas envie de saper mes forces pour toi. La magie, c'est pas gratuit. Et je te l'ai dis. Seulement en cas d'urgence. T'as largement le temps de traverser la ville à la recherche d'eau, je le vois, t'es pas mourant. Genre un bleu qui voulait m'arnaquer. Où va le monde ? Caractère & Physique
Je pense que tu as remarqué que j'étais une femme à fort caractère. Disons que je ne suis pas celle à emmerder. Sinon on le regrette au centuple. Je suis le genre de personne à faire regretter d'être né. Quand je chope un hors la loi, je lui fais passer le goût de gambader sans rien faire pour la cité et à voler et tuer à tou va. Attention hein, je fais une différence : y a ceux qui pillent et tuent, et y a ceux qui ne s'intègrent nul part et préfèrent rester seul. Les premiers, aucuns traitement de faveur. Les seconds, je leur laisse une chance de rejoindre une guilde, en expliquant que le système marche comme une grand fourmilière. Et que chaque individu compte à sa survie. Je suis pas cruelle, je ne mets pas tout le monde dans le même sac. Et puis il n'y a pas les mêmes sanctions pour différents types de criminels. Les voleurs, on leur coupe les mains. Les violeurs, on leur coupe les c... Tu l'auras remarqué, je suis pas la plus douce des personnes. On m'a jamais apprit à cajoler ou consoler. Je ne vois que les solutions radicales aux problèmes, ce qui peut m'empêcher d'avoir une relation amoureuse ou même amicale. Mais je n'en ai pas besoin pour exercer mon métier. Physiquement je suis très endurante, et la vitesse est mon point fort. A quoi bon être le plus puissant si on est balourd hein ? J'escalade, je cours, je zigzague, sors mes lames de mes fourreaux à une vitesse incroyable. Mes fourreaux, d'ailleurs, j'en ai sept. Chacun contient une arme blanche. Des lanières de cuir se croisent sur ma poitrine et mes cuisses. Les deux fourreaux sur mes hanches contiennent un poignard à la lame d'argent chacun et dans l'un d'un, un ciseau bien affuté. Quatre autres des aiguilles aplaties faites pour infliger le plus de souffrance possible lors d'un affrontement, et le dernier, situé dans mon dos, contient une longue épée à double tranchant. Je ne donne pas de nom à mes armes comme certains. Je les utilise tellement, que je les perds en combat, on je les casse. Alors ce n'est franchement pas la peine. Le reste de mes vêtements n'est que maille et pièces de fer. Rien de plus, rien de moins. Le strict minimum, pour être à la fois protégée et légère. Je suis rarement sans armure. Et lorsque je ne suis pas de service, une simple tunique aux couleurs du désert me suffit. On me dit parfois que je suis belle. On le regrette bien vite. Je n'aime pas qu'on me le dise, et à la fois cela me rassure de savoir que je ne suis pas un laideron. J'ai pourtant l'air d'un ange qu'on m'a sortit une fois, et que ma façon de parler ne convenait pas à un aussi joli visage. Ce jour là, le gars à intimement comprit le sens de l'expression avoir la tête dans le cul. Je fais en sorte qu'aucune émotions ne passe à travers mes yeux noirs. Mes sourcils sont en permanence froncés, et seules mes lèvres rouges et pulpeuses ainsi que mes longs et raids cheveux bruns peuvent témoigner de ma féminité. En ce qui concerne mon corps, on va dire que je cache volontairement bien mon jeu. Je n'ai envie de tenter aucun homme, sauf si cela me fait profiter de la situation.
Histoire
Aaah tu reconnais une femme intéressante quand tu en vois une hein ? Tu penses avoir envie de me connaitre encore plus ? Jusqu'à pouvoir réciter par coeur chaque détail de mon passé ? Mais lorsque je t'aurais conté mon histoire, tu souhaiteras tout oublié, jusqu'à même me demander de te trancher la gorge pour avoir enfin la paix, et ne plus avoir ces images horribles qui te tourmenteront nuits et jours sans aucun répit. Moi j'exagère ? Peut-être, peut-être pas, tout ce que je sais, c'est que c'est déjà arrivé.
Alors ?
Tu veux quand même savoir ? Tu ne manques pas de culot hein, vouloir m'emmerder jusqu'au bout. Qui sait, avec un peu de chance tu quitteras la guilde et je n'aurais plus à supporter ton incompétence au combat hmm ?
Ma vie n'a vraiment commencé qu'à l'âge de sept ans. Avant, c'était l'ennui mortel à la maison, à écouter père et mère qui tentaient de m'entrainer vers telle ou telle voie professionnelle. Nan depuis toute petite, je rêvais que d'une chose, c'était de casser là gueule à ceux qui avaient tué mémé et pépé dans le désert. Ce sont des choses qui arrivent, mais quand on est gosse, c'est le monde entier qui s'écroule de perdre ses grands parents. Sérieusement, je pensais pas survivre sans mon quotas de sablés mangés. Et y avait que chez mes grands parents que j'avais le droit d'en manger. Alors je m'étais juré de les venger, et donc je suis entré dans la Ghilde. Jusque là, j'ai presque envie de dire que c'est banale comme histoire. Je savais direct que c'était dans le militaire que je voulais m'orienter, et je m'entrainais déjà toute seule à me battre. Entre amis, c'est ce qu'on fait tous. Et on ne faisait pas ça avec de pauvres bouts de bois hein. Sinon comment on ferait pour reconnaitre une blessure si on en avait jamais hein ? J'ai failli perdre des bras à plusieurs reprises, mais ça m'apprenait à parer les coups au lieu de tenter de tout faire tout de suite. Tu ne l'as jamais sentit toi hein ? Lorsque ton os est en contact avec l'air, et que chaque brise te brûle la chair à vif, quand tu te sens obligé d'arracher les lambeaux de peau avec les dents pour que ça repousse plus vite. Mouais, c'était le bon vieux temps. Maintenant je ne me fais plus ce genre de blessure, les novices ne sont pas assez rapides pour me toucher, pas même l'armure alors... J'ai pas passé beaucoup de temps dans la case des novices du coup. Je me suis mit donc à protéger une Psyjiic. Un gentil brin de fille, mais incapable de contrôler sa magie. J'en payais souvent les frais. Elle avait pas une magie inoffensive fallait dire... Tu t'es déjà fait brûler au cinquième degré toi ? Au point que seule la vague de chaleur te faisait pousser des cloques grosses comme des ongles sur la peau ? Et quand tu les perçais, t'avais intérêt d'avoir le coeur bien accroché hein, sinon le pu qui dégoulinait te faisait tourner de l'oeil. Mais elle restait très acharnée comme petite, elle ne lâchait rien, et je l'aimais bien, donc je continuais de l'aider. A cette époque, j'avais déjà découvert ma magie, mais j'en avais parlé à personne. T'imagine un peu si tout le monde apprenait que je pouvais faire sortir de l'eau de mes mains ? On m'aurait de suite retiré de cette Ghilde pour me foutre avec ceux que je protégeais et on m'aurait forcé à exploiter mon don pour pouvoir bosser des heures durant à me faire traitre de toute ma magie. Pas question hein ! Je suis une guerrière moi, pas une mage, c'est pour ça que tu as intérêt à te faire discret bonhomme. En tout cas, la demoiselle finit par maitriser sa magie. Quand on veut, on peut. Et elle l'a voulut très fort et avait pas mal bossé pour arriver à ce résultat. Heureusement hein, parce que sinon j'y serais encore. J'ai enchainé plusieurs protégés comme ça. Ensuite, vers mes vingts ans à peu près, peut-être plus ou pas, j'ai été désignée pour faire quelques missions. De genre "on a repéré des voleurs ici, allez les arrêter" ou "des espions ont repéré des assassins qui tenteront une embuscades dès qu'un transport marchand passera, ne les laissez pas faire" et des tas de missions de captures. Et c'est là que j'ai commencé à me faire un nom, un vrai. Tu sais comment on me surnomme hein ? Exactement.
La femme aux ciseaux.
Et bien je vais te raconter pourquoi. C'était à ma quinzième mission ou plus, je sais plus trop, et je n'avais encore connu aucun échec. Tous les bandits dont la tête était mise à prix étaient capturés vivants et ramené à la tour de fer. Rien de très glorieux encore. Mais pour cette mission là, j'avais été envoyé avec deux de mes collègues. Et la "scène de crime" était particulièrement sanglante. En fait, je n'avais jamais vu autant de barbarie gratuite. Les ventres étaient ouverts, on voyait absolument tout l'intérieur, les boyaux séchaient au soleil, en plein cagnard, et une odeur de chair pourrie, dégueulasse en décomposition nous forçait à mettre nos cape sur notre nez pour ne pas être trop incommodés. Et s'il n'y avait que cela. Les types qui avaient fait ça étaient pas partis, comme pour admirer leur chef d'oeuvre. Mes collègues attaquèrent, et je me dirigeais vers une des gars un peu en retrait. Et bien vois tu je regrettes d'avoir approché ce malade qui violait le presque cadavre d'une femme. Et je dis presque car elle était vivante. Éventrée, vidée de son sang, mais il lui restait encore un souffle de vie qu'elle perdait peu à peu sous les assauts brutaux de son agresseur. Et à ce moment là, le peu d'humanité pour les criminels qui me restait s'envola. Tiens regarde, je les garde toujours dans ma poche. Ouais, ce sont des pouces, et accessoirement tout ce qu'il reste de cet raclure. Je l'ai tellement passé à tabac qu'il ne reste plus que ça de lui. Je les lui avait coupé avec le premier truc que j'avais trouvé sur le moment, des ciseaux. Je l'avais d'abord poignardé au moins une centaine de fois, puis je lui ai crevé les yeux. Je me vois encore, écartant les mèches des cheveux collées à mon visage par le liquide visqueux qui avait giclé. Je n'avais jamais montré autant d'acharnement à tuer quelqu'un. J'avais déjà tué oui, mais je n'avais jamais découpé les lèvres, les doigts, ou encore les parties génitales de qui que ce soit. Et lorsque les ciseaux rouillés se cassèrent sous la force des coups, ce fut à coups d'ongles que je le terminai, arrachant chaque parcelle de peau, l'épluchant de haut en bas. Ouaip, ce fut le début de tout. Et ma première paire de pouces. Depuis c'est devenu mon symbole. Tout avais été rapporté par mes collègue et j'avais du me faire suivre par un médecin plusieurs semaines sans travailler. Et lorsque je repartais en mission, pour chaque prise, ça me faisait des paires de pouces en plus. Il y avait toujours un ou deux bandits qui mourraient dans la bataille, et je prélevais ceux des ennemis que j'avais tués moi même. En guise de trophées. Je les faisais tremper dans une sève d'arbre, et ils se conservent parfaitement bien malgré les années. Et voilà garçon, le passage dont les images te hanteront la nuit. Tu ne verras plus jamais les ciseaux de la même façon non ? Hop hop hop ! Où crois tu aller hein ? Tu la voulais mon histoire, donc tu restes et tu l'écoute jusqu'au bout espèce de cloporte ! C'est donc après ce tragique évènement qu'on me donna mon surnom, et ma réputation changea également complètement. Je passais du soldat téméraire à la charcutière redoutable, qui ne laissais jamais échapper sa proie. J'ai même eu droit à un cadeau des plus original, puisqu'il s'agissait d'un fourreau avec gravé dessus un dessin de mes ciseaux. Si c'est pas une gentille attention. Mais gaffe hein petit, aujourd'hui j'en rigole, mais c'est grâce au recul. Je peux te dire que sur le moment, je pleurais véritablement. Et j'avais peur, je tremblais. Je ne dormais plus la nuit, je me méfiais de chaque personne qui passait trop près de moi, j'en était devenu paranoïaque. ça s'est estompé avec le temps, mais tu te dis bien que du temps, il en a fallut hein. Toi même, en ayant seulement entendu l'histoire tu sais que tu ne t'en remettra pas de ci tôt. Enfin bref, après avoir passé cinq ans à traqués les bandits, je fut engagée comme instructeur, et tu sais qu'avec moi les entrainements et apprentissages n'étaient pas une partie de plaisir. Faut bosser dur pour arriver à grimper les échelons bonhomme. T'y arriveras, si t'as les tripes. Mais pour la fin de l'entrainement, faudra pas compter sur moi apparemment. Regarde ça, c'est une lettre du supérieur. Juge que je passe, y sont pas cinglés tiens. Ah bah je peux te dire que ça fera de la place dans les cellules avec moi, y en a un bon paquet où j'aurais dis qu'il méritaient la mort vu les crimes. Bon on verra bien ce que ça donnera hein ? Aller ! Et continue à bosser dur, toi t'es mon préféré même si tu t'en prends pleins la gueule. Je te l'avais dis au début de ta formation de toute façon. J'étais là pour rendre les meilleurs encore meilleurs, pas les médiocres moins médiocre. Donc dis toi que t'as du potentiel, mais ne t'avise jamais à essayer de passer au dessus de moi, sinon je m'arrangerais pour avoir un duel, et t'inquiète pas, je serrai pas rouillée.
Je suis Eärebriclya, et je suis ton plus redoutable adversaire, ne l'oublie pas.
Fafnir
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SURNOM : Fafy ÂGE : 276 ans SEXE : Parfois Mâle, parfois Femelle, mais je préfère largement lorsqu'elle est femelle. Elle dit moins de conneries. RACE : Dragon nain
| Description
Fafy est très complexe comme animal. Déjà parce qu'il est complètement schizophrène. Ce n'est pas forcément facile à gérer, mais j'ai cru comprendre qu'une de ses personnalités était femelle, et l'autre mâle. D'ailleurs, la femelle est bien plus docile. Serviable, forte mentalement, elle ne se laisse pas abattre par les petits obstacles quotidiens. Elle joue régulièrement avec les enfants, et fait des câlins même aux plus grands. Elle sait parfaitement se défendre en cas de soucis et garde son sang froid en toute circonstance. J'aurais aimé qu'elle soit tout le temps ainsi, mais ce n'est pas le cas. Sa forme masculine est plus agressive. Fafnir est extrêmement dangereux. Il grogne sans arrêt, fouette l'air de sa queue, et mord quiconque osera approcher sa main un peu trop près. Il semble détester les humains, et se bat férocement contre eux. Parfois même contre moi, ce qui m'oblige à lui donner une bonne leçon pour ne pas perdre ma place de dominante. Et contrairement à son autre facette, il pète un câble très rapidement. C'est un sanguin.
On peut dire qu'il n'est pas le plus effrayant de tous les dragons. Il est minuscule, et ne grandira jamais. Dommage pour lui, et heureusement pour toute la communauté. Ses écailles vertes ondule joliment lorsque ses muscles sont en mouvement. On peut voir qu'il a de la force à revendre. Ses doigts se terminent par des griffes acérées légèrement recourbées lui permettant de ne lâcher aucune prise. Ses crocs sont recouvertes d'écailles, si bien que l'on ne fait pas la différence avec le reste de son corps. Ses petits yeux jaunes, sournois laissent penser qu'il prépare un certains coup.
Lorsque Fafnir est énervé, il a tendance à laisser sa magie opérer. L'électricité parcours son corps, passant sous ses écailles, déchargeant des éclairs fourchus et crépitants au niveau de la mâchoire, des griffes et de la queue. Il est âgé Fafy en plus, donc ça fait longtemps qu'il travaille sa magie. Il peut l'utiliser sans trop se fatiguer désormais. Mais utilisé à tout va, il finit par s'endormir comme un bébé. Et comme la plupart du temps il est logé autour de mon cou, il tombe dans ma capuche pour dormir tranquillement.
Derrière l'Écran
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CODE : Ouaip ça se dit et ça se fait XD PRÉSENCE SUR LE FORUM (SUR 7 JOURS) ? : Je sais pas COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? : C'est complexe : tout à commencé à l'âge de 3 ans, je me suis mise en quête de rattrapé un ballon gonflé à l'hélium. Bien sûr, il montait, donc je suis monté à l'étage pour essayer de l'attraper depuis la fenêtre, et je suis tombée. Je me suis réveillée il y a quelques jours et une fada est entrée dans ma chambre d'hôpital en me menaçant d'un scalpel qu'elle allait m'ouvrir le crâne si je ne venais pas ici, et me voilà. Cette folle, c'est la fonda xD UN AVIS ? : FAFY IS BACK ! Inclinez vous devant ma toute puissance bande de lamas desséchés ! S'il vous plait *car je suis un tyran poli* Silhe ! Tu remarqueras que j'ai été plus rapide que sur Shi 3h de mat contre 5h30 oh yeah o/
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